Différences entre les versions de « Étienne Bonnot de Condillac:Le Commerce et le gouvernement considérés relativement l’un à l’autre »

De Librairal
Aller à la navigation Aller à la recherche
m
Ligne 16 : Ligne 16 :
* [[Étienne Bonnot de Condillac:Le Commerce et le gouvernement considérés relativement l’un à l’autre - Fondement du prix des choses|Chapitre 2 : Fondement du prix des choses]]
* [[Étienne Bonnot de Condillac:Le Commerce et le gouvernement considérés relativement l’un à l’autre - Fondement du prix des choses|Chapitre 2 : Fondement du prix des choses]]
* [[Étienne Bonnot de Condillac:Le Commerce et le gouvernement considérés relativement l’un à l’autre - De la variation des prix|Chapitre 3 : De la variation des prix]]
* [[Étienne Bonnot de Condillac:Le Commerce et le gouvernement considérés relativement l’un à l’autre - De la variation des prix|Chapitre 3 : De la variation des prix]]
* Chapitre 4 : Des marchés...
* [[Étienne Bonnot de Condillac:Le Commerce et le gouvernement considérés relativement l’un à l’autre - Des marchés|Chapitre 4 : Des marchés...]]
* Chapitre 5 : Ce qu'on entend par commerce
* Chapitre 5 : Ce qu'on entend par commerce
* Chapitre 6 : Comment le commerce augmente la masse des richesses
* Chapitre 6 : Comment le commerce augmente la masse des richesses

Version du 10 décembre 2013 à 16:22

Étienne Bonnot de Condillac
1715-1780
Auteur libéral classique
Citations
« Une chose n'a pas une valeur, parce qu'elle coûte, comme on le suppose ; mais elle coûte, parce qu'elle a une valeur. Je dis donc que, même sur les bords d'un fleuve, l'eau a une valeur, mais la plus petite possible, parce qu'elle y est infiniment surabondante à nos besoins. Dans un lieu aride, au contraire, elle a une grande valeur ; et on l'estime en raison de l'éloignement et de la difficulté de s'en procurer. En pareil cas un voyageur altéré donnerait cent louis d'un verre d'eau, et ce verre d'eau vaudrait cent louis. Car la valeur est moins dans la chose que dans l'estime que nous en faisons, et cette estime est relative à notre besoin : elle croît et diminue comme notre besoin croît et diminue lui-même. »
Galaxie liberaux.org
Wikibéral - Catallaxia
Articles internes

Liste de tous les articles


Étienne Bonnot de Condillac:Le Commerce et le gouvernement considérés relativement l’un à l’autre
Le Commerce et le gouvernement considérés relativement l’un à l’autre


Anonyme


1776

Pages correspondant à ce thème sur les projets liberaux.org :

PREMIÈRE PARTIE : Notions élémentaires sur le commerce, déterminées d'après des suppositions, ou principes de la science économique

  • Chapitre 1 : Fondement de la valeur des choses
  • Chapitre 2 : Fondement du prix des choses
  • Chapitre 3 : De la variation des prix
  • Chapitre 4 : Des marchés...
  • Chapitre 5 : Ce qu'on entend par commerce
  • Chapitre 6 : Comment le commerce augmente la masse des richesses
  • Chapitre 7 : Comment les besoins [...] donnent naissance aux arts, et comment les arts augmentent la masse des richesses
  • Chapitre 8 : Des salaires
  • Chapitre 9 : Des richesses foncières et des richesses mobiliaires
  • Chapitre 10 : Par quels travaux les richesses se produisent, se distribuent et se conservent
  • Chapitre 11 : Commencement des villes
  • Chapitre 12 : Du droit de propriété
  • Chapitre 13 : Des métaux considérés comme marchandises
  • Chapitre 14 : Des métaux considérés comme monnoie
  • Chapitre 15 : Que l'argent, employé comme mesure des valeurs, a fait tomber dans des méprises sur la valeur des choses
  • Chapitre 16 : De la circulation de l'argent
  • Chapitre 17 : Du change
  • Chapitre 18 : Du prêt à intérêt
  • Chapitre 19 : De la valeur comparée des métaux dont on fait les monnoies
  • Chapitre 20 : Du vrai prix des choses
  • Chapitre 21 : Du monopole
  • Chapitre 22 : De la circulation des blés
  • Chapitre 23 : Le blé considéré comme mesure des valeurs
  • Chapitre 24 : Comment les productions se règlent d'après les consommations
  • Chapitre 25 : De l'emploi des terres
  • Chapitre 26 : De l'emploi des hommes dans une société qui a des mœurs simples
  • Chapitre 27 : Du luxe
  • Chapitre 28 : De l'impôt, source des revenus publics
  • Chapitre 29 : Des richesses respectives des nations
  • Chapitre 30 : Récapitulation sommaire de la première partie

DEUXIÈME PARTIE

  • Chapitre 1 : Répartition des richesses, lorsque le commerce jouit d’une liberté entière et permanente
  • Chapitre 2 : Circulation des richesses, lorsque le commerce jouit d’une liberté entière
  • Chapitre 3 : Mœurs simples d’une nation isolée chez qui le commerce jouit d’une liberté entière
  • Chapitre 4 : Atteintes portées au commerce : guerres
  • Chapitre 5 : Atteintes portées au commerce : douanes, péages
  • Chapitre 6 : Atteintes portées au commerce : impôts sur l’industrie
  • Chapitre 7 : Atteintes portées au commerce : compagnies privilégiées et exclusives
  • Chapitre 8 : Atteintes portées au commerce : impôts sur les consommations
  • Chapitre 9 : Atteintes portées au commerce : variation dans les monnaies
  • Chapitre 10 : Atteintes portées au commerce : exploitation des mines
  • Chapitre 11 : Atteintes portées au commerce : emprunts de toute espèce de la part du gouvernement
  • Chapitre 12 : Atteintes portées au commerce : police sur l’exportation et l’importation des grains
  • Chapitre 13 : Atteintes portées au commerce : police sur la circulation intérieure des grains
  • Chapitre 14 : Atteintes portées au commerce : manœuvres des monopoleurs
  • Chapitre 15 : Atteintes portées au commerce : obstacles à la circulation des grains, lorsque le gouvernement veut rendre au commerce la liberté qu’il lui a ôtée.
  • Chapitre 16 : Atteintes portées au commerce : luxe d’une grande capitale
  • Chapitre 17 : Atteintes portées au commerce : la jalousie des nations
  • Chapitre 18 : Atteintes portées au commerce : comment les spéculations des commerçants ont pour dernier terme la ruine même du commerce
  • Chapitre 19 : Conclusion des deux premières parties