Différences entre les versions de « Franz Oppenheimer:L'Etat, ses origines, son évolution et son avenir - Préface »

Ligne 71 : Ligne 71 :
# {{note|3}}Tome VII de l’édition Guillaumin des ''Œuvres complètes'' de Bastiat, texte 60.
# {{note|3}}Tome VII de l’édition Guillaumin des ''Œuvres complètes'' de Bastiat, texte 60.
# {{note|4}}''Du Pouvoir'', p. 100-101.
# {{note|4}}''Du Pouvoir'', p. 100-101.
# {{note|5}}Murray N. Rothbard, ''L’Ethique de la liberté'', trad. F. Guillaumat et P. Lemieux, Les Belles Lettres, 1991.
# {{note|6}}  Carl Schmitt, La notion de politique, 1932.
# {{note|7}}  Albert Jay Nock a écrit vivement que « l’Etat clame et exerce le monopole du crime (…) Il interdit le meurtre privé, mais lui-même organise le meurtre à une échelle colossale. Il punit le vol privé, mais lui-même fait main basse sans scrupule sur tout ce qu’il veut, qu’il s’agisse de la propriété d’un citoyen ou d’un étranger. », Nock, ''On Doing the Right Thing, and Other Essays'' (New York, Harper and Bros., 1929), p. 143 ; cité in Jack Schwartzman, « Albert Jay Nock—A Superfluous Man, » Faith and Freedom (December, 1953) : 11.
# {{note|8}}  Franz Oppenheimer, « Praktische Ökonomik und Volkwirtschafspolitik », ''Annalen der Naturphilosophie'', 12, 1913, p.22, cité par N. Goldschmidt, p. 966.
</small>
</small>
</div>
</div>
{{Navigateur||[[Franz Oppenheimer]]&nbsp;&nbsp;—&nbsp;&nbsp;[[Franz Oppenheimer:L'Etat, ses origines, son évolution et son avenir|L'Etat, ses origines, son évolution et son avenir]]|[[]]}}
{{Navigateur||[[Franz Oppenheimer]]&nbsp;&nbsp;—&nbsp;&nbsp;[[Franz Oppenheimer:L'Etat, ses origines, son évolution et son avenir|L'Etat, ses origines, son évolution et son avenir]]|[[]]}}
1 854

modifications